New York 2011
les Chevaliers défi la Grosse Pomme;
Olivier, Pascal,
Valerie, Guy,
et Michel
J'ai le souvenir de la sono qui crache à fond la chanson de Frank Sinatra, New York New York. Ce moment-là, il faut l'avoir vécu pour s'en rendre vraiment compte. Ca file des frissons partout, on se dit "waouh, j'y suis !". Hallucinant et juste indescriptible.

Lever à 4H du matin,
départ en bus vers Staten Island pour attendre 2h, bien couverts,
allongés sur l'herbe,
entourés des 46999 autres participants. Impressionnant!

Beaucoup d'émotion avant le départ !!!
Une chanteuse entonne l’hymne national et l’émotion est à son comble
puis Franck Sinatra chante ; New York !New York !!
pas vrai Michel ? et oui ......... je pense a mon ange !
puis a tous les gens avec qui j'aimerais partager cette emotion !
y a" Pascalou" juste a coté de moi !! une tape dans la main ! un petit regard !........
et GO ! c partie
Au coup de canon, dés les 1ers mètres, on oublie que l'on est venu courir un marathon: vues et spectacle exceptionnels avec du monde partout sur le trajet qui nous encourage.
Le canon tonne. Les 70 SAS de départs pleins à craquer se déversent sur le pont de Verrazano en trois cortèges distincts, formant sur les différentes bretelles d’accès des entrelacs multicolores. Vu de l’hélicoptère qui nous survole, cela doit être presque féerique
La foule est en délire et 1mile plus tard nous franchissons le Pont VERRAZZANO (c’est le plus long pont des Etats-Unis : 2km environ avec un tablier central qui s’étire sur 1300m à 210m au dessus de la mer) qui relie STATEN ISLAND à BROOKLYN.

Porté par la ferveur de la foule, je décide d’attaquer la course plutôt que de la subir prudemment. Je profite de la descente vers Brooklyn pour me replacer . Les rues défilent sous les harangues des spectateurs amassés en rang serrés depuis tôt le matin. Je passe en 42mn au 10km et 1h29 au semi. Aucun symptôme avant coureur d’une quelconque fatigue. A dire vrai, je me sens bien et prends beaucoup de plaisir. Il me semble avoir trouvé mon allure de croisière.


, cette impression de facilité s’estompe. Le pont Queensboro Bridge ’interminable ma émoussé. Inexorablement,
ma vitesse moyenne diminue ! mais bon je serre les dents ! je ferme les yeux !
je pense a Olivier , a nos seance de piste ; a nos sortie longues ,dans nos collines !
Putain c dure le marathon !

dans Central Park. Il ne me reste que 2 miles. Mais malgré l’imminence de l’arrivée,. Le parc est vallonné dur dur !!
je me relance mais c dure ! allez plus qu' un milles ! trop beau ! trop fort en emotion! j'y suis
je passe la ligne d 'arrivée 3h12 !! ouf c fini !

a moi New York
Le marathon de New York est définitivement un monde à part, une expérience à vivre… jusqu’au bout…

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Olivier 3h00
c'est une course magique, une organisation sans faille, euphorique par l'ambiance dans les différents quartiers mais difficile à l'arrivée car Central Park est une difficulté même pour des personnes préparées comme nous l'étions.
c'est le Marathon à faire et a refaire !